Karine Dissard, à la tête de la société Aides et accompagnements à l’autonomie, ne peut se résoudre à lâcher cette bénéficiaire atteinte d’obésité extrême.
« Éloïse a besoin d’équipements spécialisés, d’un accompagnement administratif, psychologique, nutritif… Alors on essaye de trouver des gens compétents, on multiplie les démarches, les rendez-vous, les courriers… on cherche des pistes médicales. De plus, les parents d’Éloïse sont également dépendants et leurs revenus sont au plus bas. En termes de dépense, il faut compter environ 400 € par mois d’alèses, de couches, de gants… ».